mercredi 11 juin 2014

J'ai lu... la femme de nos vies - Didier Van Cauwelaert


Ce que dit la 4ème de couv'

Elle m a sauvé la vie en m offrant le plus fascinant des destins. J avais quatorze ans, j allais être éliminé en tant qu attardé mental, mais grâce à elle on m a pris pour un génie précoce. J étais gardien de vaches, et je suis devenu le bras droit de plusieurs prix Nobel. Je lui dois tout : l intelligence, l idéal, l insolence, la passion.
Cette héroïne de l ombre, d autres l ont fait passer pour la pire des criminelles. Je viens enfin de retrouver sa trace, et je n ai que quelques heures pour tenter de la réhabiliter.

Ce que j'en pense

Je ne connaissais pas Didier van Cauwelaert et me suis fiée au bon jugement de ma Moman pour l'entamer.
A la base, la lectrice de thrillers que je suis n'affectionne pas du tout le genre historique : chez moi, parlez moi de préhistoire, de Louis XIV oud e seconde guerre mondiale, c'est un peu du pareil au meme, le tout cumulé m'aura fait avoir moins de 10 au bac.
Cependant, j'ai tout de suite été happée par l'histoire. Le récit, écrit à la 1ère personne, est construit à la manière d'un dialogue. Tant et si bien que j'ai fini par m'identifier à Marianne et que j'avais l'impression que le vieux monsieur qui me contait l'histoire de cette femme était assis juste en face de moi, en train de manger sa choucroute.
L'histoire est jolie, la plume Van Cauwelaert magnifique. J'ai eu l'impression, pendant les quelques 350 pages, de me retrouver en cours de philo. Le récit est, en effet, ponctué de nombreuses morales à coté desquelles on ne peut pas passer.

Le passage qui me reste en tête

"Ayez l'insolence, Mariane. L'insolence de vivre au delà des schémas qu'on vous impose, des limites que vous vous êtes créées..."

Ma note 

4/5

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