lundi 17 mars 2014

J'ai vu... mange, prie, aime


Pas d'article depuis 1 semaine, ça sent le tire au flanc. Donc, pour pallier à ce manque total d'inspiration, il me fallait du lourd. Ca a commencé ce matin, vers 5h20. Ou plutôt, ca fait deja quelques années que ça a commencé.
J'avais le film sur l'ordi depuis quelques temps et, à chaque fois, entre lui et moi, ça n'a été que des occasions ratées : une clé usb fichue, le lecteur en panne, une soirée beuverie improvisée, et j'en ai encore des tonnes en provision. Au vu du synopsis, je savais par avance qu'il était hors de question de tenter de le voir avec Cher&Tendre, encore moins avec les Gremlins dans les pattes. Ce matin, fraichement réveillée et prise d'une subite envie de ne plus dormir, j'ai saisi l'occasion. 

Le synopsis

Après un divorce difficile, Liz Gilbert décide de prendre une année sabbatique et de changer de vie. Elle entame alors un périple initiatique qui va l’emmener au bout du monde et d’elle-même. Lors d’un voyage aussi exotique que merveilleux, elle retrouve l’appétit de vivre et le plaisir de manger en Italie, le pouvoir de la prière et de l’esprit en Inde, et de façon tout à fait inattendue, elle trouvera la paix intérieure et l’amour à Bali.

La bande Annonce

Mon (humble) avis

Mange, prie, aime, c'est d'abord l'histoire de cette femme, entamant cette fameuse année sabbatique à la recherche de ce qu'elle a l'impression d'avoir perdu. Elle part loin de chez elle, de ses amis, de ses repères et part à la découvertes de lieux absolument magnifiques, rencontre des personnalités qui le sont tout autant. Elle y redécouvre des plaisirs essentiels et des vérités qu'elle ne soupçonnait pas.
Mais Mange, prie, aime, c'est surtout l'histoire de chaque femme. Je pense que nous avons toutes eu un jour cette envie, ce besoin d'évasion, d'échapper à la pression quotidienne. Nous nous sommes tous un jour posé cette fameuse question : "suis je vraiment à ma place? Suis je vraiment heureuse?". De là à vivre une expérience totalement mystique, partir vivre dans un ashram... le pas est grand!
Julia Roberts est bouleversante de sincérité et Richard Jenkins m'aura émue au plus haut point. Jeffrey Dean Morgan, que j'adore en temps normal, me laisse cependant pantoise, surtout quand j'entend son horrible accent brésilien.
Pour ne rien vous cacher, ce film va rejoindre mon top 5 de mes préférés et je pense même faire l'investissement du bouquin!

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